Veille tarifaire et e-commerce: un oeil sur la concurrence
Les chiffres le confirment : le commerce en ligne est définitivement entré dans les mœurs. En Belgique, selon le SNI (Syndicat Neutre pour Indépendants), 23 % des magasins qui ont ouvert un « web shop » réalisent plus d’un quart de leurs ventes en ligne. En 2013, les e-commerçants belges ont réalisé un chiffre d’affaires de 1,8 milliard d’euros, soit 20 % de plus qu’en 2012. La Belgique devrait, fin 2014, atteindre un chiffre d’affaires de 2,2 milliards d’euros pour la vente en ligne.
La prolifération de sites d’e-commerce fait que certains marchés deviennent fortement concurrentiels. Une solution, pour rester compétitif, est de proposer à ses clients les meilleures offres qualité-prix et la veille tarifaire pourrait s’avérer être une belle alternative pour atteindre cet objectif.
La veille tarifaire consiste à mettre en place un système permanent ou régulier de surveillance des prix. Elle peut non seulement être configurée pour veiller sur les offres de la concurrence, mais peut également être utilisée par une entreprise pour surveiller la tarification pratiquée par les distributeurs de ses produits. La veille tarifaire, exercée chez les concurrents, permet à la société de s’aligner rapidement sur les prix des autres prestataires de produits et services identiques. De cette manière, elle pourrait, tenant compte de la zone de vente, aligner ses prix sur ceux de commerçants locaux ou sur les autres offres faites sur Internet.
La veille tarifaire peut être faite de manière automatique, par extraction de données, dans le domaine des prix pratiqués et affichés sur Internet. Aujourd’hui, il existe des outils qui répondent aux besoins des marques en mettant en place une veille tarifaire pertinente et productive. Nous vous en signalons trois, à titre d’exemples, qui jouissent d’une bonne image sur la toile :